Lundi 25 Juillet, Douala – Edéa – Kribi
(Titou)
On commence la journée par aller à Cameroon Airlines confirmer les billets d’avion pour certains et à la banque changer de l’argent, avant d’aller au musée de l’art contemporain de Douala, vu qu’il était fermé la veille.
Juste après, « Hey, Ho, let’s go ! », on part pour Edéa. On embarque dans un car, pour une fois de la même taille que ceux que l’on trouve chez nous, à la différence près qu’en France on ne rentre pas dedans à 70… Arrivés à Edéa, on apprend que la réserve à laquelle nous devions aller n’est pas intéressante. On commence par manger, puis on va voir le barrage qui, avec 3 autres barrages, fournit l’électricité à tout le pays. Pas de bol, c’est pas le jour des visites, on ne peut donc le voir que de l’extérieur. Pour ne pas perdre de temps le lendemain matin en trajets, on part tout de suite pour Kribi. Trajet normal, à 30 dans un bus de 25, à un détail près : un passager voisin de Chouchou « un peu » éméché qui nous prend pour des américains et se met à nous dire en anglais (je résume parce que sinon ça serait trop long) « Pourquoi vous êtes venus au Cameroun ? Vous ne pouviez pas aller ailleurs ? » en casant dans chaque phrase 3 ou 4 « kamikaze ». Enfin c’est ce que je crois avoir compris… Il décide ensuite de sortir du bus au contrôle suivant. Bon débarras, ça fait de la place et du calme. Après cet épisode comique, nous arrivons à bon port. On attend alors que Steph nous trouve où dormir. Petit moment d’inquiétude et d’attente de ¾ d’heure. Le lieu étant trouvé, on s’y rend en taxi ou en moto. Petite balade agréable dans la fraîcheur de la nuit. On arrive chez un « cousin » de Stéphane, qui nous accueille avec sa maman de manière très chaleureuse. Il nous indique un restau sympa, en terrasse couverte surplombant le port (mais bon vu qu’il fait nuit, on ne voit rien…). On y mange des bananes plantain frites (ça faisait longtemps…) et du poisson grillé (pareil…), puis rentrons nous coucher, étant donné qu’on est tous bien fatigués.